Ce destin n'est que le miens...[Libre]

La plaine Hakiti a toujours été MON endroit. Je ne dit pas qu'il m'appartient, loin de là. Mais c'est souvent ici que je viens chasser, même très souvent, puisque c'était ce que j'avais l'intention de faire maintenant. Me menant instinctivement vers un troupeaux de Zèbres bien battit, je m'approcha d'eux , à pas feutrés, presque en rampant. Les broussailles qui était la principal venue de tous ces animaux me cachait, et puisque mon pelage s'y mêlait, personne ne me voyait. J'observa le petit groupe plusieurs minutes, et en repérât un, boiteux, mais solide, même très, il avait l'air d'être leur sorte de " Dominant " ... C'était une proie facile. Je sortit rapidement de ma cachette, me mettant derrière lui. Il m'avait repérée , il se mit évidemment à courir, malgré sa patte boiteuse. C'était une faiblesse, mais pour moi, c'était un atout... Notre course poursuite effraya tout les autres Zèbres. Les femelles ramenait leurs petits près d'elles, et les mâles se mettait devant, près à mourir pour leur troupes. Un rocher me fit trébucher, ce qui permit à l'animal de prendre de l'avance, mais ... Il se fatiguerait vite avec sa jambe. Il aurait dû y penser. Un malin sourire se dessina sur mes lèvres, et je me remit à courir de plus belle, le rattrapant. Je lui sauta sur le bas du dos, m'agrippant pour tenir, toutes griffes dehors. Le Zèbre hénissant de plus belle, tout comme moi je rugissait. Il continuait encore et toujours de courir malgré que je sois sûr lui et qu'il soit à bout de force. Il se cabrait, et moi je lâcha prise, pour pouvoir ensuite me rejeter sûr lui, atterrissant cette fois si, sûr son dos. je le mordis le cou, juste avant qu'il ne fasse tomber et me donne un coup de sabot, je n'allais pas abandonner comme ça ! Il me tournais autour, il avait vraiment affoler. Je lui sauta dessus, j'étais une fois de plus percher sûr lui, sans m'en rendre compte, je le gifla, sur la nuque. Un craquement se fit entendre, et le Zèbre s'écroula à terre. La poussière qu'il avait soulever retombait peu à peu, nous recouvrant tout les deux d'une fine couche. Le Zèbre n'étais pas mort. Je pouvait lui donner le coup fatale.

- " Fait tes adieux mon jolie... "

Je m'avança vers lui, les crocs à découvert, m’approchant de sa nuque, et y referma mes mâchoires. Ce claque que j'aimai tant entendre résonna dans toute la plaine. Je pris le corps sans vie, le traînant dans la plaine poussiéreuse, les autres animaux avait déjà oubliés tout ce qui venait de se produire, même le groupe de ce malheureux Zèbre qui était désormais mon repas. Je m'installa dans un coin à l'ombre. De là où j'était, j'avais vue sûr toute la plaine. C'était magnifique. Des centaines d'animaux de toutes sortes était là, à mangés, sans se soucier de ce qu'un lion comme moi pouvait leur faire subir d'un moment à l'autre.